Byleth & Alois A

Alois
...

Alois
Ah, vous êtes là ! Comment allez-vous ?

Alois
Oh... Toutes mes excuses. Je dois faire face à des pensées désagréables.

Alois
Depuis que la guerre a commencé, j'ai abrégé d'innombrables vies.

Alois
Vos élèves et vous-même avez également les mains sales.

Alois
C'est vrai que de votre côté, vous vous êtes battus de votre plein gré. Personne ne vous a forcé la main.

Alois
Mais parfois, je me dis qu'on ne devrait pas vivre dans un monde où les enfants sont contraints de prendre les armes.

Alois
C'est vrai. Nous avons tous pris de l'âge.

Alois
Ah, écoutez-moi ! Je me sens vraiment mal, à vous ennuyer avec mes états d'âmes.

Alois
Bouh... ha ha ha ha ! Bien dit !

Alois
Entre nous, j'ai du mal à croire qu'une expression puisse influencer en quoi que ce soit l'air d'une brute épaisse dans mon genre.

Alois
Jeralt faisait pareil : quand j'allais mal, il avait toujours une mauvaise blague pour me remonter le moral.

Alois
D'ailleurs, j'ai conservé ses meilleures œuvres. Cependant quand je les ai racontées, les gens ont certes ri, mais de moi.

Alois
Vous, en revanche, vous avez hérité de son humour.

Alois
Je me sens bien mieux maintenant, et c'est grâce à vous.

Alois
Ce n'est pas en me laissant aller à la dépression que je pourrai mettre fin à cette guerre.

Alois
Le seul moyen de nous en sortir, c'est d'aller de l'avant et de se concentrer sur notre avenir !

Alois
Pour ne rien vous cacher, ces mots viennent de Jeralt.

Alois
Jeralt m'a tout appris. Personne ne pouvait avoir son importance à mes yeux.

Alois
Enfin, à part vous, peut-être.

Alois
Quand je vous regarde, quand je vous vois combattre, c'est comme si nous étions de la même famille...

Alois
Mais je vois également en vous quelque chose de sacré... et de puissant. Quelque chose qu'il me faudrait défendre et soutenir de tout mon être.

Alois
Vous êtes devenu indispensable à tout Fódlan, et à moi, particulièrement.

Alois
Je promets de continuer à vous protéger, en tant que chevalier et « grand frère ».

Alois
N'hésitez pas à me rendre la pareille, si le cœur vous en dit.